
Parution : en 2020 dans les éditions Actes Sud. En 2022 dans le format poche chez Actes sud Babel. Traduction du suédois de Rémi Cassaigne.
Broché : 320 pages 23.70€ Poche : 384 pages 9.90€
Les lieux : Italie, Suède.
Le style, le genre : roman policier censé être centré sur la lutte des femmes contre toutes les violences. Ce roman fait partie d’un diptyque, le premier s’appelle La cage dorée.
L’auteure : née en 1974 à Fjällbacka, Suède, Camilla Läckberg a rencontré un grand succès international grâce à son héroïne Erica Falck ; ses livres se sont vendus à plus de vingt-six millions d’exemplaires dans le monde. Elle est également l’une des fondatrices d’Invest in Her, une société d’investissement qui s’engage auprès de femmes entrepreneuses. En France, tous ses livres sont publiés chez Actes Sud..
L’histoire : Faye mène la belle vie à l’étranger. Sa société Revenge est plus florissante que jamais et son ex-mari infidèle croupit en prison. Mais au moment où elle pense que tout est rentré dans l’ordre, sa petite bulle de bonheur est de nouveau menacée. Revenge est sur le point de s’implanter aux États-Unis lorsque Faye découvre que de nombreuses actions sont vendues dans son dos, mettant en péril l’existence même de l’entreprise. Contrainte de retourner à Stockholm, elle va découvrir que les fantômes inexorables de son passé semblent loin d’avoir étanché leur soif de sang. Avec l’aide d’une poignée de femmes triées sur le volet, elle va alors tenter de sauver ce qui lui appartient – et la vie de ceux qu’elle aime.
Mon avis : ai-je commis une erreur en choisissant ce titre pour ma première expérience de Camilla Läckberg ?? ou alors tous les titres sont ils de la même veine ? la lecture du premier volet m’aurait-elle fait changer d’avis ? j’attends vos lumières… si c’est le cas je n’y reviendrai pas. Je n’ai pas aimé du tout ce polar, à moins que le dessein de Camilla était de faire détester l’héroïne qui est à claquer. Je n’ai trouvé aucun intérêt à ce personnage désagréable, style femme d’affaires qui se vautre dans le luxe et pour qui la malhonnêteté est élevée à un tel niveau. L’histoire ne m’a pas intéressée et j’ai eu hâte d’arriver au bout pour en finir. Je crois, malgré ma bienveillance légendaire, n’avoir pas lu un tel mauvais polar depuis longtemps !
Pour résumer : quand je termine l’écriture de mes critiques (jamais avant pour ne pas subir d’influence) je lis des avis d’autres blogueurs pour voir si je suis raccord ou pas, ici mon verdict : passez votre chemin.
