Parution : en 2009 dans les éditions Robert Laffont. Neuf il n’existe plus qu’en poche éditions Pocket.

Poche : 512 pages – 9.20 €

Le style, le genre : thriller juridique.

L’auteur : John Grisham est né en 1955 dans l’Arkansas, États-Unis. Il exerce pendant dix ans la profession d’avocat, tout en écrivant des thrillers à ses heures perdues. Il publie en 1989 son premier roman, Non coupable, mais c’est en 1991, avec La firme, qu’il rencontre le succès. Depuis, L’affaire Pélican (1992), Le couloir de la mort (1994), L’idéaliste (1995), Le maître du jeu (1996) et L’associé (1999) ont contribué à faire de lui la figure de proue du thriller juridique.

Les lieux : États-Unis.

L’histoire : fraîchement diplômé de Yale, Kyle McAvoy, jeune avocat, pensait emprunter l’autoroute du succès. C’était compter sans l’intervention d’une poignée de costumes noirs se réclamant du FBI. Dans leurs valises : une vidéo. La captation d’un viol collectif commis cinq ans auparavant, dont Kyle fut le témoin passif.

Kyle n’a pas le choix, il doit collaborer et accepter ce poste dans le plus gros cabinet d’avocats du pays, puis communiquer certaines informations sur des clients.

Mon avis : je me suis ennuyée en lisant ce livre comme il n’est pas permis… L’écriture est identique à son style habituel, efficace, mais il ne se passe pas grand-chose, j’ai eu l’impression d’un recyclage en boucle des évènements ponctuant les chapitres. J’étais restée sur La Firme, brillant roman et film addictif mais franchement celui-là on peut s’en passer, pas besoin d’en dire plus, le résumé suffit.

Pour résumer : lisez plutôt le livre policier que je vais vous recommander chaudement dans un prochain article : Meurtre à l’anglaise.