Les chiens de chasse de Jorn Lier HORST

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les chiens de chasse horstles chiens de chasse brochéParution : en mars 2018 dans les éditions Gallimard, en folio Policier en février 2019. Traduction du norvégien par Hélène Hervieu.

Broché : 480 pages – 21 €         Poche :  464 pages – 8.70 €

Le style, le genre : roman policier norvégien

L’auteur : Jørn Lier Horst est né le 27 février 1970 à Bamble, dans le comté de Telemark, en Norvège. Il suit l’enseignement de l’école de police et devient policier. Alors qu’il l’est encore il publie de la littérature pour la jeunesse avec pas moins d’une trentaine d’ouvrages et parallèlement, fort de son expérience d’ancien policier, il écrit une série policière très populaire en Norvège (une adaptation TV est en cours) autour de l’enquêteur William Wisting. Les chiens de chasse est le 8e des 15 écrits à ce jour mais le deuxième traduit en France, il a reçu le prix Riverton 2012, le prix Clé de verre 2013 et le Prix Martin Beck 2014.Lier-Horst les chiens de chasse

Les lieux : Larvik ville située dans le comté de Vestfold dans le sud de la Norvège

L’histoire : Dix-sept ans après son incarcération pour enlèvement et meurtre, Rudolf Haglund retrouve la liberté. Son avocat affirme qu’il a été condamné sur la base de preuves falsifiées.

William Wisting, à l’époque jeune inspecteur chargé de l’enquête, est devenu une figure exemplaire et respectée de la police. Au cœur du scandale, suspendu de ses fonctions, Wisting décide de reprendre le dossier. Les policiers auraient-ils succombé au syndrome des «chiens de chasse», suivant par instinct la première piste, au risque d’en négliger d’autres, et s’acharnant à prouver la culpabilité supposée de leur proie? Ou l’enquête aurait-elle été manipulée ?

Mon avis : un homme accusé à tort, un ou des ripoux, le passé de l’inspecteur, la fille de l’inspecteur Wisting qui s’en mêle : tout est en place pour passer un bon moment. Comme je l’ai dit précédemment cette intrigue est bien meilleure que celle de « Fermé pour l’hiver ». Le personnage du prisonnier libéré, Rudolf Haglund, est particulièrement intéressant, on est sans cesse baladé entre « c’est lui, c’est pas lui ».

Pour résumer : bon polar que je recommande.

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